Le château Maïs
(Pas d'autres noms connus)

Décembre 2016




Avant-propos :

- Aucune information ne sera donnée sur la localisation du site.
- Je ne souhaite pas faire d’échange de lieux.
- Ceci n'est pas un site de photographies mais d'explorations.

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Voici un compte-rendu d'une exploration pas vraiment fascinante. Je n'en attendais rien et à raison, puisque le lieu est vide. Entendre par cela, entièrement vide, puisqu'il ne reste quasiment que les 4 murs de la bâtisse.

 

Notons tout de même le cadre exceptionnel dans lequel nous pouvons trouver ce château du XIIIème siècle qui a été successivement une résidence de notables de la région, une école puis laissé vide et servant visiblement de lieu de stockage. Il est situé tout en haut d'une falaise, à côté d'une cascade, connue dans la région.
L'école a fermé dans les années 60 et même si il y a eu d'autres propriétaires depuis, mon petit doigt me dit qu'il est à l'abandon depuis lors.

Le nom de la commune est original. Il sonne totalement exotique. On trouve plusieurs explications à cela mais la plus crédible est celle d'une origine arabe qui voudrait dire "maison sur un rocher". Mashallah que je trouve cela amusant d'avoir conceptualisé cela dans une langue !





Voici le château. On voit effectivement, qu'il n'est plus tout jeune ! Sur le côté, les dépendances (qui étaient jusqu'à peu, un restaurant), sont murées. On notera au passage le cadavre d'une 504 (Merci Guillaume, tu as un magnifique prénom au passage).





On entre ainsi par le sous-sol qui a apparemment servi de lieu d'élevage animalier. Tout est en terre battue avec du maïs (???) un peu partout. Étrange. Le tout fait en tout cas très "salon de l'agriculture". Et j'ai du mal à saisir le concept.



Je monte à l'étage et là, grosse surprise, il n'y a rien de plus qu'une salle blanche prête à s'écrouler ! Il y a aussi du foin et encore du maïs.

Qu'elle est loin l'école, les chants d'écoliers et les cahiers d'enfants ! Je m'attendais à m'en mettre un peu plus sous la dent même si je sentais le coup venir. Tant pis, la route, au moins, était belle, tout comme cette ancienne carte postale du lieu :

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